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 Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie !

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2 participants
AuteurMessage
Sofia di Bergamo
Fiordaliso
Sofia di Bergamo


Messages : 14
Date d'inscription : 27/12/2010

Jardin Secret
Et cette brèche?: J'y navigue entre deux eaux ... pour mieux l'anéantir!
Et le coeur?: Ne m'en parlez pas ! Il s'est brisé au lendemain de mes noces !
Un secret?: J'ai débusqué le monstre qui a tué mon époux et ai dissimulé mon fils !

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MessageSujet: Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie !   Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! EmptyMar 28 Déc - 15:38

Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! Dacou10
Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! Passpr10

Sofia di Bergamo

Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! Natali13
par __[Natalie Portman]__

Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! Suis10

♣️Mon identité complète: Sofia Maria Béatrice Marelli
♣️Je suis né(e) le: 9 avril 1849.
♣️Je suis:Vicomtesse di Bergamo et préceptrice d'italien au palais de la Cité.

♣️Je viens:
♦️de cette brèche où ton Louis XIV m'est totalement étranger !


Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! Para10

♣️Cette brèche:
♦️Je la connais...elle ouvre sur les Enfers.


♣️Quelles en sont mes intentions:

Je crus tout d'abord à un nouveau cauchemar, le choc de la mort de mon Alexandre m'aurait-elle vraiment rendu folle pour avoir de telles hallucinations ? Mais au fond de moi, je n'y ai jamais cru, c'était bien trop réel et jusque dans mes sens. Je me souvins encore de deux odeurs différentes, la première d'un machand de patisseries dans la Monarchie et l'autre de fleurs dans la République.

Que mon cerveau me trompe soit, mais mon odorat et ma vue … non ! Je restais convaincue de l'existence de cet autre monde et j'eus raison. J'y retournai et découvris avec soulagement que cette brèche existait, et que ma folie non. Je m'y acclimatais avec douceur et patience, posant des questions au hasard, en lisant, en recherchant. Un vrai travail d'études pour m'y sentir comme un poisson dans l'eau. Je vous accorde, qu'il me reste encore beaucoup à apprendre mais je connais au moins l'essentiel. Quant à mes intentions, pour l'heure, mon plan est simple : Détruire la brèche et l'engloutir dans le chaos pour que ce Filiponne vive la même chose que moi ! Ma blessure encore béante et saignante tient énormément à cette loi du Talion. Pardonnez moi gens de la République !



Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! Ecran10

♣️Prénom et/ou pseudo: Ludmillia
♣️Age: 20 et des poussières
♣️Comment avez-vous connu le forum? J'ai été recrutée par Zita
♣️Fréquence de connexion: 5j/7 et 1j/7 pour les rp.
♣️Code du règlement: Code bon by Zalie
♣️Question? suggestion? petit mot? Rien à signaler. Smile C'est parfait ainsi.

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Sofia di Bergamo
Fiordaliso
Sofia di Bergamo


Messages : 14
Date d'inscription : 27/12/2010

Jardin Secret
Et cette brèche?: J'y navigue entre deux eaux ... pour mieux l'anéantir!
Et le coeur?: Ne m'en parlez pas ! Il s'est brisé au lendemain de mes noces !
Un secret?: J'ai débusqué le monstre qui a tué mon époux et ai dissimulé mon fils !

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MessageSujet: Re: Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie !   Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! EmptyLun 3 Jan - 16:07

Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! Histoi10

" Fiordaliso (bleuet) " c'est ainsi que me nommaient mes parents :Guido Alessandro Marelli, vicomte de Bergamo et Béatrice Gaignereau, fille d'un des plus riches banquiers de France. Cela n'a rien d'étonnant, puisque dès enfant dans ma villa campagnarde sur le Lac Majeur, j'avais le don de tresser des couronnes ou de créer des bouquets avec ces fleurs là, pour orner les tables ou le bureau de mon père. Mes parents m'idolâtraient et surtout mon père, et je le lui rendais bien. Mes premiers jours se déroulant paisiblement autour d'un cadre aussi bucolique, j'apprenais en sa compagnie à nager, ce qui n'est pas commun pour les personnes de mon sexe, mais je ne regrette pas d'avoir eu cet enseignement, mais qui me servit grandement et peut-être qui me servira encore.

Aucune douleur donc durant mes douze premières années, jusqu'au décès de ma bien regrettée maman - oui je la nommais ainsi - morte en couches, après la naissance de ma petite soeur Alicia, qui la suivit de près dans la tombe. Bien qu'accablée, je me devais de rester forte pour mon père, et après quelques semaines, mon sourire forcé jusque là se dérida pour lui. C'est à cette époque que je fis réellement, la connaissance de mes deux tantes paternelles - Luisa et Teresa - et de leurs époux respectifs - Paolo et Pietro - mon pauvre père étant en mal de sa famille, durant les premiers temps de son veuvage. Leurs têtes ne me disaient rien qui vaille, j'avais la nette impression qu'elle jalousait leur frère, et convoitait sa fortune, autrement dit mon héritage. La première impression est toujours la bonne, dit-on, je peux vous assurer qu'elle le fut ! Mais j'y reviendrai ...

Après une année, la douleur de mon cher papa s'estompa, et la vie reprit comme avant ... C'est à dire naturelle, loin de tout artifice et de mondanité. Une vie discrète mais saine loin du souvenir de la mort. Bilingue grâce à ma mère, je me passionnais très vite pour l'apprentissage des langues étrangères et je passais lors de ma dix neuvième année, mon diplôme de préceptrice. J'entrais au service des plus grandes familles de la péninsule italienne, afin d'éduquer des jeunes filles en passe de se marier avec des nobles étrangers. J'eus pendant quatre longues années, le temps de m'attacher à mes élèves et le pincement au coeur en les quittant, me reste toujours aussi vivace. Je demeure encore aujourd'hui, en relation épistolère avec elles, et en particulier avec la fille de notre ambassadeur italien : Gaetano di Arona.

Je pensais garder cette charge toute mon existence, mais c'est à l'aube de mes vingt trois ans, qu'une lettre de Philippe XV, roi de France la modifia :

" Mademoiselle,

Nous faisons appel à vos talents de préceptrice, ainsi qu'à vos qualités morales et humaines afin d'apprendre votre si belle langue italienne, à la princesse Alice de France, notre soeur bien aimée.

Celle-ci admise depuis peu à Notre cour, a en effet besoin de votre enseignement qui nous a été vanté par votre ambassadeur.

Dans le cas où vous accepteriez cette charge, Nous vous prions de recevoir de ses mains, vos premiers gages ainsi qu'une bourse d'or, pour vos premiers frais de voyage.

Veuillez transmettre votre réponse, à Monsieur l'ambassadeur qui nous informera.

Nous espérons vous compter prochainement parmi les membres de Notre Cour.

Fait à Paris, ce quatorizième jour du mois de février de l'an de grâce 1872.

Philippe, par la grâce de Dieu, Roi de France. "


Comment refuser au Roi de France ? Bien sûr je souffrais de quitter mon père mais nous nous
mettions d'accord, nous nous verrions plusieurs fois par an, quoiqu'il arrive. Cette promesse
mutuelle, me mit du baume au coeur au moment de quitter ma chère péninsule. Après trente deux jours de voyage, je parvenais enfin à Paris, et au Palais de la Cité, siège du pouvoir royal. Je fus à peine mes malles données à une véritable armée de domestiques, conduite chez Philippe XV. Il m'expliqua avec plus de précisions, le rôle qu'il désirait que je tienne auprès de sa jeune soeur de treize ans. Non seulement la jeune princesse avait passé ses premières années recluse et éloignée de tout, mais avait manqué d'amour à la fois paternel et maternel. Philippe XV attendait rattraper le temps perdu, et offrir à Alice tout ce dont elle avait manqué. La description qu'il m'en fit, me faisait déjà bien aimer cette princesse mal aimée par la Cour. Une fois encore, mon instinct ne me trahit pas. La soeur du Roi devint vite une élève attachante, puis une véritable amie.

Nous nous adorions et nous nous adorons encore. Deux ans passèrent ainsi, où je ne vivais que pour enseigner. Un homme changea cela. Il s'agissait d'un chevau léger du Roi : Alexandre de Ville. Lorsque je le rencontrais, la première chose qu'il me dit, fut : Vous avez la grâce d'un cygne, et la pureté d'une fleur de lys. Ce joli jeu de mot avec mon surnom d'enfance, me fit sourire. Un sourire se transforme souvent en amitié ou en amour. Pour nous ce fut l'amour. Au bout de quelques mois, il me demanda en mariage et éprise jusqu'aux confins de l'âme, je ne doutais en aucun cas de mon oui. L'évènement allait m'offrir une autre occasion de revoir mon bien aimé père, ainsi que ma famille et donc mes tantes et leurs époux. Toute à mon bonheur, je me moquais bien de nos tensions de jadis.

Lorsque le jour vint enfin, il s'agissait d'un beau jour de printemps, j'irradiais de joie. Nous avions
organisé de modestes noces, sans artifices tout comme nous l'étions mon époux et moi, mais nous avions déçu personne, par notre simplicité. Mieux ! Au lendemain de nos noces, il nous restait de quoi accueillir à nouveau quelques invités. Nous privilégions alors la famille, famille avec qui je demeurais le temps qu'Alexandre ne revienne d'un rendez vous sur lequel, il ne m'avait rien dit. L'émerveillement de ma nuit de noces et la confiance entre nous étant inébranlable, je ne l'avais pas questionné, persuadée de son prompt retour. Mais de quart d'heure en quart d'heure, les heures passèrent et il ne revenait toujours pas. Je me mis à marcher à travers la nature naissante, pour aller à sa rencontre. Je le rencontrais en effet, mais en très mauvaise posture. Il se battait avec un homme sur les berges de la Seine. J'étouffais un cri d'épouvante, le coeur battant de peur tout au long du combat, mais je ne pus retenir un hurlement lorsque j'entendis soudain, un coup de feu et vis mon époux s'effondrer au pied de son assassin, mort.

Ce dernier se masqua à la hâte mais j'avais eu le temps d'apercevoir quelques uns de ses traits, il prit sa barque et y attacha la seconde à l'aide d'une corde. Puis il commença à ramer frénétiquement. Poussant des cris d'hystérie, je restais pétrifiée quelques instants, puis la haine reprenant la dessus, je voulus tuer ce monstre de mes propres mains, n'écoutant que mon coeur brisé, je plongeai dans l'eau. Nageant aussi vite que je le pouvais, je m'épuisais plutôt que de le rattraper, mais la rage me donnait l'énergie de persister. Je passais sous un pont et c'est alors que je vis des édifices que depuis deux ans et demi, je n'avais jamais vus à Paris. Un monument officiel arborait d'ailleurs, un drapeau bleu, blanc, rouge. C'est à cet instant, que je crus réellement devenir folle. On tuait mon époux, et je découvrais un tout autre Paris.

Le second choc, fut presque aussi fort que le premier, et c'est avec des yeux exorbités, pâle comme une morte, dégoulinante d'eau que je me présentais à mes invités. Cela n'aurait été rien, si je n'avais pas prononcé des mots délirants qui terrifièrent mon pauvre père. Cependant, je ne pouvais pas lutter, je n'avais plus le contrôle de moi même. Ma famille se mit d'accord pour me faire interner quelques jours, le temps de me remettre, mon père ayant peur pour
ma vie. Hélas, cette décision temporaire devint permanente, à la mort de mon père, qui décédé d'une crise cardiaque, deux semaines plus tard après les évènements. mes tantes paternelles et surtout l'aînée Luisa, lorgnant sur mon héritage, avait profité de l'aubaine pour rendre mon internement définitif.

Lorsque la nouvelle du décès du seul parent qui me restait, me fut annoncé, j'aurai pu mourir de
douleur. Une seule chose me retint à la vie : ma grossesse. C'est d'ailleurs dans cet asile que huit mois plus tard, j'accouchais d'un garçon que je prénommais : Alexis en souvenir de son père et de son grand père. Je ne voulais rien dire à ma famille qui aurait pu faire du mal à l'héritier de ma fortune et de mes terres, ne m'en faisaient-ils pas à moi ? En profitant de mon malheur pour me retenir dans cette clinique ? Heureusement que je rencontrais, un jeune homme avec qui je me liais d'amitié. Le pauvre souffrait d'une maladie curable certes, mais importante et qui demandait un certain suivi. Deux âmes et deux corps torturés sont suffisants pour tisser des liens, et il a été ma bouée, durant plusieurs semaines où je demeurais seule avec mon bambin. Dorian Kensington, car tel est son nom, a quitté la clinique juste un peu avant moi. Lors de notre dernier entretien, je lui ai parlé de ce que j'avais vu dans cet autre monde. J'ai peur qu'il m'ait pris réellement pour folle, car je ne l'ai pas revu depuis …

Mais comme je l'ai dit, je sortais finalement de là, grâce à l'intervention de ma chère amie, la princesse Alice. Je la bénirai toute ma vie d'avoir usé de son influence, pour me sortir de l'enfer ! Je laissais mon cher fils - que je revois néanmoins chaque soir - aux religieuses du couvent annexe à l'asile et retournais à mes affaires. Nos leçons n'étaient plus les même, ma douleur de veuve les rendait mornes. En outre, la flamme de la vengeance me rongeait le coeur. Les confidences aidant, je lui fis part à elle aussi, de ce que j'avais découvert derrière ce pont. Contrairement à Dorian, elle accueillit mon récit avec curiosité. Mieux même, lorsque je lui fis part de mon désir ardent de justice, elle m'accorda de repasser dans cet autre monde autant de fois que je le voudrais, après nos cours. Je ne me faisais pas prier et c'est désormais chaque jour que je passe cette brèche, à bord d'une barque, brèche que je n'arrive toujours pas à m'expliquer. Cependant, j'ai bien compris que nous étions en République, dirigée par un certain Mac Mahon. Alexandre ne m'avait-il donc rien dit parce qu'il faisait parti de ce monde ?

La République si courant en Italie pendant des siècles, ne m'est donc en aucun cas un problème. Je suppose que l'on peut être heureux autant en République qu'en Monarchie, tant que l'honnêteté est à la tête de l'Etat. Je supposais aussi que le criminel de mon époux se trouvait dans l'élite de ce monde, j'allais donc à ce qu'ils ont appelé : Assemblée Nationale et durant plusieurs sessions, je guettais. Un député, monta un jour à la tribune et tout en lui me rappela celui que j'avais vu, avant qu'il ne se masque. Mon sang ne fit qu'un tour dans mes veines, et je fus alors sûre de moi. Mes intuitions ne m'avaient jamais trompée. Son nom : Nicolas de Filipponne. Je ne devais jamais l'oublier, et dès lors je fis tout pour rentrer à son service. J'y parvins et décrochai la charge d'intendante sous un faux nom : Maria Salvari. Et dire qu'il ne se doute de rien, le pauvre ! Deux charges, deux noms, deux secrets, me croyez réellement folle pour jongler avec tout ça chaque jour, avec une claire détermination et des plans bien établis ?

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Zita de Craon
Grande Manitou
Zita de Craon


Messages : 247
Date d'inscription : 06/11/2009

Jardin Secret
Et cette brèche?: Je la nie mais si elle existe, ce n'est certainement pas mon Histoire qui en pâtira ...
Et le coeur?: Pour l'instant il ne bat que de peur !
Un secret?: Je suis parait-il le portrait craché d'une Reine Médiévale !

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MessageSujet: Re: Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie !   Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! EmptyLun 3 Jan - 16:16

Bonjouuuuuuuuuuuuur et bienvenue sur le forum !!! cheers

Notre première membre qui veut résorber la brèche ! cheers

Tout cela me semble parfait ^^ Tout y est ! Je te valide donc !

Très bon jeu parmi nous !

Je te laisse prendre le chemin des logements, rangs et fiche de liens dans l'administration Smile

A très vite Smile
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https://etsi.forumactif.com
Sofia di Bergamo
Fiordaliso
Sofia di Bergamo


Messages : 14
Date d'inscription : 27/12/2010

Jardin Secret
Et cette brèche?: J'y navigue entre deux eaux ... pour mieux l'anéantir!
Et le coeur?: Ne m'en parlez pas ! Il s'est brisé au lendemain de mes noces !
Un secret?: J'ai débusqué le monstre qui a tué mon époux et ai dissimulé mon fils !

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MessageSujet: Re: Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie !   Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! EmptyLun 3 Jan - 16:40

Merci beaucoup pour la validation ! J'y vais de suite ! Smile
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MessageSujet: Re: Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie !   Sofia di Bergamo ou le drame de toute une vie ! Empty

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